lundi 21 avril 2014

The Last Son, La Malédiction

Titre : The Last Son, La Malédiction / Hideaways
Nature : film
Nationalité : Irlandaise
Genre : romance paranormale
Année : 2011
Durée : 1 h 30
Réalisation : Agnès Merlet
Scenario : Nick Murphy
Acteurs : Harry Treadaway (James Furlong), Rachel Hurd-Wood (Mae-West O'Mara), Thomas Sangster (Liam), James Wilson (James Furlong à 10 ans).


L'Histoire
:

Dans la famille Furlong, l'aîné de chaque génération est doté d'un pouvoir extraordinaire, pour le meilleur ou pour le pire. James, le dernier de cette lignée, orphelin de mère, découvre la nature du sien lors d'un accident qui cause la mort de son père et de sa grand-mère. Hanté par ce mal mystérieux, il se retire au plus profond de la forêt pour ne plus nuire à ses proches. Quelques années plus tard, Mae, une adolescente en révolte et atteinte d'un mal incurable, se réfugie elle aussi dans la forêt, et rencontre James.


Mon avis :

The Last Son, La Malédiction est un film irlandais qui nous plonge dans une ambiance assez étrange.
Dés le début, les antécédents maudits de la famille Furlong nous sont contés comme si on nous racontait une histoire avant de nous endormir. Cette amorce est assez efficace, et nous permet de rentrer de plein pied dans le film. La malédiction qui frappe la famille Furlong, et notamment le petit James nous est narrée dans toute sa cruauté, et l'évolution de l'histoire nous fait vivre toute l'horreur de la situation. Je venais de commencer à manger quand j'ai mis le film et j'avoue que ma soupette a quand même eu du mal à passer.

Une ellipse de 10 ans nous permet ensuite de passer à la partie romance. Mae est une jeune fille qui vient de subir une énième opération visant à la sauver d'un cancer, mais qui n'a pas eu le succès escompté. Il n'y a désormais plus rien à tenter et ses jours sont comptés. Elle fait une fugue dans la forêt et va rencontrer James qui y vit désormais en reclus.

L'esthétique avec un choix de couleurs assez sombres prédominantes, et l'exotisme (?) du casting Irlandais, avec des acteurs et actrices inconnus de ma culture renforce le sentiment de dépaysement que j'ai ressenti.

Rachel Hurd-Wood qui campe Mae est une jeune fille irlandaise comme on se les imagine : une chevelure sombre, un teint pâle et des yeux verts. Je lui ai trouvé des traits de ressemblance avec l'actrice Claire Danes. Je l'ai trouvée assez juste dans son jeu, même si son fond, sa personnalité ne sont pas assez fouillés à mon goût.

J'ai été extrêmement surprise de voir que Harry Treadaway était né en 1984. Je lui donnais facile 10 ans de moins. Je l'ai trouvé très touchant en homme devenu ermite contre sa volonté. Sa malédiction le prive d'amis et on sent que tout ce qu'il aurait voulu c'est être aimé.

Ce film raconte une jolie histoire, même si je l'ai trouvé traitée assez superficiellement dans sa deuxième partie mais pas forcément plus que la plupart des contes. Et je pense qu'il plaira plus particulièrement à un public "Jeunesse". Si je l'avais vu beaucoup plus jeune, je pense que j'aurais vraiment adoré.

Ma note pralinée :



/ 5



Export Cowblog : article du 26/01/2014

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