lundi 31 mars 2014

Pomme d'Eden

Titre : Pomme d'Eden
Auteur : Céline MANCELLON
Genre : Boss Love, nearly yaoi
Année : 2012
Editions : Les Editions Sharon Kena


4e de couverture :

Alexandra a renoncé à ses rêves professionnels lorsqu'elle a décidé de devenir l'assistant d'un célèbre P.D.G d'une puissante société d'Assurances.
La jeune femme au physique androgyne décroche l'emploi en usurpant l'identité de son frère jumeau.
Jamais elle n'aurait cru que fréquenter de trop près le très séduisant et charismatique Bruce Wales serait aussi difficile !
Ce dernier, homosexuel, semble flirter avec elle, la pensant être un homme.
Arrivera-t-elle à cacher sa véritable identité, le temps de gagner assez d'argent pour aider son frère ?
Son cœur survivra-t-il à la passion que lui inspire ce monsieur Wales alors qu'il n'aime pas les femmes ?

Mon avis :

Lorsque Alexandra se fait passer pour Alex, son frère jumeau pour décrocher un emploi, elle ne se doute pas que son patron est un séduisant homosexuel qui se plait à batifoler avec ses assistants le temps de leur C.D.D.

Bruce est un homme d'affaires a qui tout réussit. Savoureusement manipulateur et délicieusement lubrique (oui, oui ce sont des qualités), il ne se laissera pas impressionner lorsque son employé lui avouera être hétérosexuel et en ménage. S'engage alors un jeu du chat et de la souris, dans lequel il excelle.
Pour Alex c'est le commencement d'une aventure qui prend des allures de labyrinthe - montagnes russes. Elles va se retrouver dans toutes sortes de situations savamment orchestrées par Bruce, dans le but de la (le, en fait) séduire, et non contente de devoir lutter pour résister à l'attirance qu'elle ressent pour lui, son secret sera mis en danger à de maintes reprises.

J'ai passé un bon moment avec ce livre qui se lit d'une traite, et Céline Mancellon nous donne les explications qu'il faut pour rendre le travestissement crédible. C'est le genre d'histoire que l'on lit en élaborant toutes sortes de suppositions quant au dénouement, mais dont chacune est démontée tour à tour et on ne sait pas trop où cela va nous mener.
D'ailleurs je m'interroge un peu sur le réalisme de la fin, mais bon, c'est assez bien fait alors pourquoi pas.

J'ai quand même trouvé quelques défauts. J'ai trouvé dommage que presque chaque homme que l'on croise dans l'histoire soit homosexuel. Au bout d'un moment dés que je croisais un individu de sexe masculin je me disais "tu vas voir qui lui aussi il est homo", et la vraie surprise finalement c'est quand l'un ne l'est pas. Mais bon, il y a toutes sortes de bonnes idées pour contrebalancer ce défaut.
Ensuite j'ai trouvé la révélation de fin sur Mélinda, l'amie d'Alex et Alex vraiment too much.
Enfin, j'ai trouvé la fin très abrupte. J'aurais voulu que la scène de fin soit plus étendue.

Ma note pralinée :



/ 5


Export Cowblog : article du 26/04/2013

dimanche 30 mars 2014

La Mécanique Du Coeur

Titre : La Mécanique Du Coeur
Auteur : Mathias MALZIEU
Genre : Conte fantastique
Année : 2006
Editions : J'ai Lu / Flammarion


4e de couverture
:

Edimbourg, 1874.
Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Mi-sorcière mi-chaman, la sage-femme qui aide à. l'accouchement parvient à sauver le nourrisson en remplaçant le cœur défectueux par une horloge.
Cette prothèse fonctionne et Jack vivra, à condition d'éviter toute charge émotionnelle : pas de colère donc, et surtout, surtout, pas d'état amoureux.
Mais le regard de braise d'une petite chanteuse de rue mettra le cœur de fortune de notre héros à rude épreuve prêt à toit pour la retrouver, Jack se lance tel Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais jusqu'aux arcades de Grenade et lui fera connaître les délices de l'amour comme sa cruauté.


Mon avis :

Mathias Malzieu, chanteur du groupe Dyonisos, est un auteur de génie. Magicien des mots, il sait les utiliser pour nous faire rentrer dans son monde. Un univers souvent comparé avec raison à celui de Tim Burton, auquel j'ajouterais une touche de Boris Vian.

C'est un petit conte, dans lequel nous allons rencontrer toutes sortes de personnages. Personne n'est normal et chacun existe par ses particularités et son histoire. Il n'y a pas de figurants.
Jack nous raconte son histoire. Depuis sa naissance dont il se rappelle chaque instant, en nous présentant avec tendresse le monde dans lequel il vit et son entourage.

"Anna et Luna sont deux prostituées qui se pointent toujours en période de Noël en baissant les yeux sur leur ventre arrondi. [...] Elles ressemblent à deux vieilles gamines. C’est du reste ce qu’elles sont, deux gamines de trente ans avec des déguisements en léopard moulants. Leurs vêtements ont toujours cet étrange parfum d’herbes provençales, même lorsqu’elles ne fument pas.
[...] Anna est une grande rose fanée au regard arc-en-ciel dont la pupille gauche, un quartz installé par Madeleine pour remplacer son œil crevé par un mauvais payeur, change de couleur selon la météo. Elle parle très vite, comme si le silence lui faisait peur.

[...] Et puis il y a Luna, blonde chatoyante, version préhistorique de Dalida, avec ses gestes lents et son sourire brisé, funambule sur talons aiguillissimes. Sa jambe droite a partiellement gelé le jour le plus froid du monde. Madeleine l’a remplacée par une prothèse en acajou avec un porte-jarretelles dessiné en pyrogravure."

Dû au fait de l'horloge qui lui sert de coeur, Jack est paralysé par sa différence, et peine à s'intégrer. Ce n'est que lorsqu'il rencontrera Miss Acacia, et aura un violent coup de foudre pour elle, qu'il décidera de se mettre un coup de pied au cul et de tout mettre en oeuvre pour la conquérir.

Au-delà du talent indéniable de l'auteur et de sa manière de jouer avec les mots, je dois avouer que j'ai fini par décrocher car l'histoire racontée ne m'a pas vraiment plu. Je m'attendais à ce que cela prenne une dimension plus "belle histoire d'amour impossible qui fait mal au coeur".
Et Miss Acacia, qui a tous les atouts et surtout défauts pour être un personnage charmant, m'a déçue. J'aurais voulu la voir plus investie dans la romance, je l'ai trouvée trop "touriste".

Et j'avoue avoir été très déçue par la fin de cette histoire.



Ma note pralinée :


 / 5

 Export Cowblog : article du 24/04/2013

L'Amour Fou

Titre : L'Amour Fou / Claiming The Courtesan
Auteur : Anna CAMPBELL
Genre : Régence
Année : 2007
Edition : J'ai Lu            Collection : Aventures & Passions
N°9388


4e de couverture :

Sommé par sa mère de se marier dans les plus brefs délais, le duc de Kylemore décide de lui infliger la pire des avanies. Il épousera sa maîtresse ! Verity Ashton, plus connue dans le demi-monde sous le nom de la divine Soraya, est d'une beauté à couper le souffle et, depuis un an, il ne se lasse pas de son corps somptueux.
Même si elle demeure un mystère pour lui, il ne doute pas qu'elle se pâme de gratitude après une demande en mariage.
Mais l'arrogant duc subit un camouflet inattendu : la jeune fille refuse tout net et disparaît. Il se jure alors qu'il n'aura de cesse de la retrouver et de la soumettre...


Mon avis
:

L'amour fou que ressent Justin, le duc de Kylemore pour sa maîtresse est un amour qui fait peur. Un amour qui fait souffrir. Mais en même temps c'est un amour qui m'a électrisée.
Maltraité pendant son enfance, Justin ne connait rien à l'amour, il ne reconnait même pas ce sentiment lorsqu'il se voit perdre les pédales en se rendant compte que Soraya a disparu du jour au lendemain sans un mot d'adieu, après avoir refusé sa demande en mariage.
Il entame alors une longue recherche, et il mettra trois mois à la retrouver. Blessé dans son orgueil, il veut se venger, faire payer à sa courtisane toute cette longue absence, lui montrer qu'on ne quitte pas le duc de Kylemore comme ça, et surtout la garder auprès de lui pour toujours qu'elle le veuille ou non.
Justin est un personnage qui semble au bord de la folie, et il y a des antécédents dans la famille, alors il va commettre des actes méprisables envers Soraya, il n'hésitera pas à la séquestrer et à s'imposer à elle. Ca ne se fait pas, c'est vrai, mais j'avoue que j'ai aimé voir un héros aussi fragilisé par les sentiments qu'il ressent à tel point qu'il sait qu'il deviendra fou si la femme qu'il aime le quitte, alors je ne lui en ai pas voulu longtemps. Sous son aspect cruel et arrogant, on voit en lui le petit garçon privé d'amour qu'il a été et j'ai souhaité qu'il guérisse de ses blessures.

En revanche, le personnage de Soraya / Verity ne m'a pas convaincue (peut-être est-ce aussi pour ça que je n'ai pas ressenti pleinement toute l'horreur de la situation). On nous présente une héroïne qui jongle entre ses deux personnalités "Soraya la Courtisane" et "la modeste Verity" sans parvenir à les faire cohabiter. Et cette double personnalité m'a parue peu réaliste. D'une manière générale j'ai trouvé que ce personnage manquait de fond, et  qu'il y avait des incohérences dans ses actions et réflexions par moments. L'évolution même de ses sentiments m'a laissée sceptique. En fait à la fin du livre, je ne connaissais toujours pas Verity.

J'ai quand même passé un bon moment avec ce livre, car la folie du héros m'a portée dans ma lecture, mais il ne restera pas dans mes livres préférés car j'aurais voulu un meilleur équilibre entre les personnalités des héros.
Et j'ai aussi regretté que la fin soit un peu précipitée. Il reste quelques questions en suspens (une surtout!).


Ma note pralinée :


 / 5


Export Cowblog : article du 22/04/2013

La Fiancée Offerte

Titre : La Fiancée Offerte / The Prize
Auteur : Julie GARWOOD
Genre : Angleterre, moyen-âge
Année : 1991
Edition : J'ai Lu                  Collection : Aventures & Passions
N°3346


4e de couverture
:

La Cour de Guillaume La Conquérant.
Une femme s'avance, entièrement vêtue de blanc, ses cheveux dénoués ondoyant sur ses épaules. C'est lady Nicholaa, la fière captive saxonne. Le roi a promis sa main au vainqueur du tournoi.
Soudain, un cri perçant déchire le silence. Nicholaa se retourne. Une petite fille hurle de terreur : le bas de sa robe vient de prendre feu ! La belle Saxonne se précipite, prend l'enfant dans ses bras, éteignant les flammes de ses mains nues.
Devant l'assemblée pétrifiée, le roi annonce :
- J'avais autorisé mes chevaliers à combattre pour votre main. Votre courage m'a fait changer d'avis : c'est vous qui aurez le choix.
Royce ! Voilà l'occasion idéale de se venger de ses humiliations... et de ses caresses un peu trop osées.

Mon avis :

A l'occasion de la réédition de ce livre en ce mois d'avril, je ne peux résister à l'envie de vous dire tout le bien que j'en pense.

Il fait partie de mon Top 3 Garwoodien, j'adore cette histoire. J'aime ce couple.

Nicholaa la fière saxonne et Royce, le courageux chevalier normand sont ennemis. La guerre qui a opposé leurs peuples est finie et s'est soldée par la victoire de Guillaume le Conquérant sur les anglais, qui accède au trône.
La beauté de la jeune femme est célèbre, et le nouveau roi décide de l'offrir en mariage à un de ses chevaliers qui devra gagner la main de la demoiselle au combat.
Mais avant cela, il faut attraper Nicholaa, et ce n'est pas une mince affaire. Nombre de chevaliers mis sur le coup reviennent bredouilles et pas forcément en bon état. Pour réussir à piéger la belle, il faudra l'intervention de Royce, le plus fort, le plus malin et le plus courageux des chevaliers.

Autant dire qu'entre eux, les choses ne sont pas simples. Avec ses mensonges et ses tentatives d'évasion, Nicholaa, met la patience de Royce à rude épreuve, mais en même temps il ne peut s'empêcher d'être attendri par elle, d'être étonné par sa douceur (oui, même dans ces circonstances) et d'admirer son courage. Entre chamailleries, légers instants de faiblesse et brefs moments de compréhension, un lien très fort va se tisser entre eux alors qu'ils sont en route vers la cour, où doit être organisé le mariage de la jeune femme.

La magie de Julie Garwood opère une fois de plus.
Ces personnages sont très attachants. Royce, le chevalier au visage traversé par une cicatrice possède un coeur de gentleman sous son aspect rude. Il est très maladroit dans sa façon de l'exprimer mais il aime Nicholaa, sans aucun doute possible. L'auteur nous le montre à coups de petites scènes tendres et émouvantes. Lorsque la vie de Nicholaa est en danger, on ressent toute l'importance qu'elle a pour lui. Les seuls mots qui me viennent pour décrire ce que j'ai ressenti c'est "Ca fait boum-boum dans mon petit coeur tout ça".

Nicholaa, est une jeune femme qui va découvrir qu'il n'est pas facile de commencer une nouvelle vie dans un peuple qui n'est pas le sien. Elle devra affronter beaucoup d'épreuves avant de trouver le bonheur. Mais grâce à sa gentillesse et à son bon coeur, elle fera la conquête de tout le monde.

Des personnages très garwoodiens donc, mais la recette fonctionne bien alors pourquoi arrêter ? J'en redemande même.

J'espère qu'un jour Julie Garwood écrira une suite mettant en scène Justin, le petit frère de Nicholaa.

Mais en attendant je ne peux que vous inciter à profiter de l'aubaine qu'est cette réédition et à vous jeter dessus.


Ma note pralinée :

















Export Cowblog : article du 18/04/2013

samedi 29 mars 2014

Choupounie et La Lumière Pulsée 1

Un post assez inhabituel pour partager avec vous mon expérience de la dépilation à la lumière pulsée.


J’ai décidé de m’attaquer à mes très disgracieux poils du menton et de la lèvre supérieure.


Et je me dis que mon expérience sera peut-être utile à certaines d’entre vous si elles hésitent à se lancer.

Mon profil
Je suis chatain foncé et j'ai la peau claire. J'ai un duvet qui est assez discret et qui ne me dérange pas vraiment, mais j'ai aussi de très nombreux poils noirs très épais sur le menton et la lèvre. J'en enlève à la pince chaque jour.
Mon problème semble provenir d'un dérèglement hormonal mais ce n'est pas sûr car je n'ai pas consulté.


Pourquoi ai-je choisi la lumière pulsée plutôt que la laser ?
En me renseignant sur internet j’ai lu un peu de tout sur l’une ou l’autre de ces deux méthodes. Les résultats semblent assez semblables, mais les deux présentent des avantages différents :
Le laser est pratiqué par un dermatologue. Je trouvais rassurant qu’un acte si important soit pratiqué par un professionnel de la santé. En cas de problème, je me dis que celui-ci trouvera certainement des réponses. Mais tous ne le font pas, il faut parfois aller loin pour trouver un dermato pratiquant le laser.
La lumière pulsée est réalisée par une esthéticienne formée à cela dans un salon spécialisé dans la lumière pulsée. L’avantage c’est qu’il y a un salon dans la ville où j’habite, à 10 minutes de mon travail, et l’esthéticienne s’adaptera plus facilement à mes horaires qu’un dermato. Avec les horaires que j’effectue je trouve appréciable de pouvoir avoir un rendez-vous entre midi et deux. C’est ce point qui l’a finalement emporté.
De plus, mon esthéticienne (une classique : cire, massage huiles essentielles…) m’a conseillé de me diriger vers cet institut. Elle y avait déjà envoyé des clientes qui avaient été ravies des résultats.
J’ai donc appelé et la machine était lancée.



L’épilation à la lumière pulsée qu’est-ce que c’est exactement ?

L’article de Marie-claire le définit mieux que je ne saurais le faire : La dépilation se fait par l'émission de lumière et l'absorption de cette lumière par une cible (le poil). La lumière qui atteint 70 ° degré C détruit -uniquement- le poil, entraînant à terme une quasi non-repousse de celui-ci. Dans le poil, c'est le pigment (la mélanine) qui va capter la lumière et ainsi chauffer.


Combien ça coûte ?
Pour donner un ordre d'idée, le salon où je vais propose des forfaits illimités. La moustache et le menton sont deux petites zones à 280 € chacune.
Je fais les deux donc j'ai droit à une petite ristourne : 500 € le forfait illimité que j'ai besoin de 8 séances ou de 12, jusqu'à extinction complète de tous mes poils



L’entretien préalable


Avant de commencer les séances un premier rendez-vous est donné durant lequel :

1° L’esthéticienne nous explique le fonctionnement de la lumière pulsée. Les consignes à suivre. Elle répond aux éventuelles questions que l’on peut lui poser.


L’épilation du menton et de la lèvre comment ça se passe ?
Eh bien, nous nous attaquons à deux zones qui ont un cycle de repousse différent.
La moustache suit un cycle de 3 semaines, tandis que la barbe suit un cycle de 6 semaines.
Et il faut 8 à 12 séances pour éradiquer totalement tous les poils.
Donc nous prenons rendez-vous toutes les 3 semaines pour faire la lèvre, le menton ne sera fait qu’une séance sur deux jusqu’à la fin des séances lèvres. Et puis ensuite, nous aurons rendez-vous toutes les 6 semaines.

6 semaines c’est long ! Je vais devenir la femme à barbe ! Et si entre-temps je veux faire une retouche, pour un rendez-vous important ou quoi, est-ce que je peux revenir avant ??
Hélas, non. Pour que le traitement soit efficace il est très important de respecter le cycle de repousse de la pilosité. Et il est évidemment interdit également de s’épiler à la cire ou à la pince entre deux séances.
En revanche, « crème dépilatoire à volonté ! ».
PS : il existe des crèmes spécial visage. N'en trouvant pas en grandes surfaces j'ai commandé la crème dépilatoire Klorane sur internet.


Ma pilosité semble provenir d’un problème hormonal. Le traitement marchera t’il ?
Il n'y a pas de raisons que ça ne marche pas, les poils traités ne repousseront plus, d’autant plus que vous avez le phototype idéal.

Ne pas prendre ce tableau pour un document super précis, il concerne un appareil de type domestique.
C’est juste pour vous donner une idée par rapport à votre phototype.
Un entretien en institut vous confirmera si le traitement peut marcher sur vous ou non.
 

Après selon la nature du désordre. Il n’est pas exclu que d’autres poils apparaissent plus tard. Mais c’est la même chose pour tout le monde. Il faudra certainement faire des séances d’entretien plus tard.


2° l’esthéticienne nous soumet à un questionnaire médical afin de s’assurer que nous ne présentons aucune contre-indication pour commencer le traitement.
Il ne faut pas être enceinte, ne pas porter de pacemaker, les séances UV sont proscrites, ainsi que les expositions prolongées au soleil et les massages aux huiles essentielles trop rapprochés des séances. Il ne faut pas suivre de traitement médical ou homéopathique non plus. Il est également demandé si nous avons des allergies.
Pour celles qui comme moi, on commencé un cure de tisane drainante préparée par une pharmacie herboriste, il n'y a pas de problème.


3° Ensuite, l’esthéticienne nous soumet à un test cutané afin de s’assurer que nous ne présentons pas de réaction négative au traitement. La zone de test a été l’avant-bras.
Quatre flashs ont été effectués. Tout d’abord à un niveau très faible, deux autres de niveaux progressifs, pour arriver au flash force maximale (étant une brune à peau claire on peut y aller franco).

Ne présentant pas de réaction à ce test, un rendez-vous est pris pour le lendemain.



Ma première séance


C’est vrai qu’il faut se raser avant d’aller à la séance ?
 Oui, la zone à traiter doit être rasée ou dépilée à la crème 48 heures avant la séance, c’est à dire que si vous avez rendez-vous le lundi matin, il faut faire la crème le vendredi soir.
Pour cette première séance, comme j’ai pris le rendez-vous le lendemain de l’entretien préliminaire cela ne servait à rien sinon la machine n’aurait rien détecté.
Mais comme j’ai laissé pousser mes poils en prévision – ouais je sais c’est dégueu, mais le désespoir me pousse à des extrémités inimaginables – ils sont trop longs pour être traités directement, donc l’esthéticienne me tond avec un rasoir me laissant quelques millimètres de poils.


Comment je me présente le jour de l’épilation ?
Pas de maquillage sur la zone, cela paraît logique. Je ne suis pas maquillée du tout car sur des photos de site j’avais vu des photos de femmes portant des lunettes de protection style lunettes de natation et je craignais l’effet panda. Finalement, les lunettes que je passe sont assez classiques, style Virenque. Donc pas de problème si on veut se maquiller les yeux.




Comment ça se passe alors ?
 L’esthéticienne nous donne les lunettes de protection, et nous passe un produit transparent qui va aider la machine à capter le poil.
Et c’est parti ! L’appareil ressemble au manche du couteau électrique de maman pour couper le rosbif, muni d’un cristal de forme rectangulaire.
La spécialiste appuie sur la gâchette et le cristal flashe la zone. Elle va passer ainsi sur toute la zone, afin de n’oublier aucun poil.

Cela dure en tout et pour tout 3 à 5 minutes.




Et ça fait mal ?
 La sensation est souvent décrite comme la claquement d'un élastique chaud sur la zone. Je trouve cette description assez juste.
Ce n'est pas très agréable, mais ce n'est pas non plus douloureux.
Allez, sur une échelle de 1 (picoti-picota) à 10 (accouchement, fracture du coude), je dirais 1.


J'arrive à la séance avec mes poils et je repars sans mes poils ?
Malheureusement non. Les poils tomberont d'ici 8 à 10 jours, mais rien ne vous empêche de faire la crème dépil en rentrant chez vous. Cela ne gênera pas le traitement .


Est-ce que tous les poils traités dans la séances vont partir définitivement ?
Certains oui, mais pas tous. Seuls les poils flashés leur phase anagène ne repousseront pas.
Toute la difficulté est là, et c'est pour ça qu'il faut tant de séances pour que la totalité de poils disparaissent définitivement.

Source photo :  http://blog.ml-esthetics.com

 Le cycle de vie de chaque poil se divise en trois phases, la phase anagène (la jeunesse), la phase catagène (la vieillesse) puis la phase télogène (la mort)

C'est aussi pour ça qu'il est très important de ne pas épiler à la pince ou à la cire. 


Voilà c'est tout pour aujourd'hui.
Je pense avoir dit tout ce que je sais, maintenant affaire à suivre.
Je ne mets pas de photos car j'ai juste mon portable et celles que j'ai prises avant la première séance sont très floues, on ne voit rien dessus.

Tout ce que j'espère c'est que dans 8 à 12 séances je vous ferai un bilan positif ^^ 


Article inédit ! exclusivité blogspot ^^ 




Qui suis-je ? - Tag présentation

Avec cet auto-tag, je me présente...

Avant de me lancer sous le feu des questions, je passe par le basique :

Prénom : Nathalie
Année de naissance : 1984
Ville de résidence : La Seyne Sur Mer (Var, 83)


La ou les choses sans la(les)quelle(s) vous ne pouvez pas quitter votre maison
Je dirais mon sac, avec mes trois trousseaux de clés (maison, voiture, travail), mon portable, et ma bouteille de tisane drainante de pharmacie herboriste (c'est ma nouvelle tocade)






2.Est-ce que tu souhaites te marier un jour, ou pas?
Avec la bonne personne je ne dirais pas non. Après ce n'est pas un passage obligé pour moi.


3. Est ce que tu te mets facilement en colère?
Je peux parfois m'énerver, mais j'ai tendance à ne pas trop extérioriser, du coup personne ne le sait en général. Mais je peux tout à fait péter un boulon.


4. As-tu une phobie?
J'ai le vertige, mais du genre je tremble des jambes dans des escaliers sans rampes, ou sur des chemins formés de rochers. Je crois que ma tête est trop haute pour moi, par rapport au sol. Il aurait fallu que je sois naine. Du coup, je suis une chieuse en ballade (non, pas par là! T_T)


5. As-tu déjà failli mourir?
Non.

6. Est ce que tu aimes l'alcool?
J'aime le vin et les cocktails à base de rhum (mojito, punch), je peux aussi choisir un martini en apéro. Mais c'est tout. Et je ne bois qu'occasionnellement.


7. Tu es plutôt soirée entre amis ou boite?
Soirée entre amis sans hésitation possible. Ca doit faire plus de 10 ans que je n'ai pas mis les pieds en boîte et je n'aimais pas ça ( à part le sentiment d'avoir une vie sociale super cool)


8. Où es-tu sortie pour la dernière fois?
La dernière fois que j'ai mis le nez dehors ? Tout à l'heure, j'ai pris ma pause déjeuner et on est allé manger au Petit Prince (spécialités du Maghreb), je me suis cassé le ventre.
Sinon ma dernière sortie nocturne, c'était pour voir une copine qui a déménagé dans les Pyrénées et qui était là que pour quelques jours. On est allé boire un verre (et manger un bout) sur le port de Sanary (la ville où Kad merad veut aller au début de bienvenue chez les ch'tis)


9. Quel est le défaut que tu trouve intolérable chez les autres?
 Le mensonge. Je peux accepter beaucoup de défauts, mais si la confiance s'en va, c'est fini.


10. Décris ta ou tes meilleur(e)s ami(e)s
C'est un groupe de filles super. On aime les même choses, enfin pas tout, mais on n'a rien contre les débats. On essaie de profiter de chaque occasion pour se voir.


11. Quel est ton style de musique?
 J'écoute surtout de la pop coréenne depuis pas mal d'année. J'aime aussi les chansons des films bollywoods. Sinon j'adore le symphonic metal (nightwish en tête, mais avec Tarja), la pop rock, je peux écouter un peu de tout. Je n'aime pas trop le saxophone et l'accordéon.


12. Si tu devrais prendre une résolution, laquelle?
J'en ai déjà pris beaucoup depuis ce début d'année qui se résume en une seule : prendre soin de moi. C'est une résolution à tiroirs qui englobe plusieurs autres :
1) me faire belle tous les jours (Pomponnette ! Où es-tu ?)
2) m'inscrire à la salle de sport, perdre du poids
3) arrêter de me ronger les ongles et mettre du verni


13. Tu mesure quelle taille?
1,66m


As-tu des animaux de compagnie, quoi, leur nom?
Oui, j'ai une petite minette, de 2 ans qui s'appelle Belldandy en référence à la déesse héroïne du manga Ah! My Goddess (que je n'ai bien sûr jamais lu) parce que je trouve que ce prénom fait très "Tigre du Bengal" et que c'est de bonne augure puisque c'est la Déesse du Présent.



15. Ton meilleur moment
Difficile d'en choisir un. Il y a eu les voyages que j'ai faits (l'Ecosse, Londres, Paris japan expo), le jour où j'ai eu ma Belldandy d'amour


16. As-tu déjà eu le bégin pour un professeur?
Deux secondes je réfléchis. Non.


17. As-tu confiance en toi?
Non, j'ai certains problèmes à régler et j'y travaille. Cela fera l'objet de plusieurs articles sur mon blog prochainement. C'est encore une nouvelle résolution que je n'ai pas mise dans la questions sur les résolutions.


18. A ton avis, que pensent les gens de toi la première fois qu'ils te voient?
Je pense que sur le plan professionnel je fais plutôt bonne impression. Après au niveau des nouvelles connaissances, j'avoue que comme je suis assez réservée, ils ne doivent pas avoir envie de pousser plus le rapprochement.


19. As-tu des regrets?
Oui.


20. Ton principal trait de caractère
La gentillesse


21. As-tu un objet fétiche?
Non


22.Une odeur spéciale (en dehors des parfums) que tu aimes?
La fleur d'oranger


23. Quel est ton type de nourriture préféré?
J'adore les cuisines du monde. Ma préférée est la cuisine indienne.
Sinon, j'aime aussi les bons vieux plats type cuisine familiale


24. Quel pays rêves-tu de visiter?
La Corée en tête, mais aussi la Chine, la Thaïlande...


25. Quel est ton magasin préféré?

Je n'ai pas vraiment de magasin préféré, j'aime bien les boutiques de prêt-à-porter bon marché style mango, cache-cache.
J'aime beaucoup le site Iherb pour tout ce qui est shampoings, après-shampoings, produits d'hygiènes bio.
Et là je viens de passer ma première commande sur Forever 21, et si le colis tient ses promesses il prendra peut-être la première place


26. Est ce que tu utilises une fourchette pour manger tes frites?
Non, jamais, voyons !!


27. Quel est le dernier film que tu es allée voir au cinéma?
Only Lovers Left Alive, que j'ai trouvé pas terrible


28. Quel est le dernier achat que tu as fais?
Ma commande sur Forever 21 : trois hauts, deux jupes et un pyja-short


29. Quels sont tes loisirs?
Lecture, séries asiatiques, soirées avec mes amis


30. Où t'imagines-tu dans 5 ans?
Je pense toujours au même endroit.




vendredi 28 mars 2014

Nuit De Sang

Titre : Nuit De Sang / Nightshade, book 1
Série : Belladone (n°1)
Auteur : Michelle ROWEN
Genre : Créatures mythiques
Année : 2011
Editions : Milady


4e de couverture
:

Jillian était une fille sans histoire jusqu’à ce qu’on la prenne en otage. Désormais, il ne lui reste plus qu’un choix à faire : mourir des mains de Declan, l’assassin dhampire qui la retient prisonnière, ou succomber aux effets secondaires du poison qu’on lui a injecté : la Belladone. Un venin qui fait d’elle l’arme ultime dans la guerre contre les vampires.
Le seul espoir de Jill consiste à convaincre son kidnappeur de la relâcher, mais comment toucher le coeur d’un homme qui n’a jamais ressenti aucune émotion ?


Mon avis :

Un livre que je conseille vraiment.
Attention, au bout de mon 94e article je vais employer pour la première fois une expression que je me suis jurée de n'employer qu'avec parcimonie : c'est un vrai coup de coeur !  ^^

Imaginez.  Vous êtes dans une journée de boulot comme une autre, et en revenant du starbucks où vous êtes allée chercher du café pour tout le monde vous êtes prise en otage par un dingue en blouse blanche qui brandit une seringue. Votre seul espoir est un homme effrayant couvert de cicatrices et pourvu d'un bandeau cache-oeil, armé qui ne semble pas faire dans le sentiment.


Il tenait la seringue contre ma gorge, et la pointe acérée de l'aiguille s'enfonçait dans ma chair. Je cessais de lutter et tâchais de ne plus remuer, de ne plus respirer. Envahie par les larmes, ma vision se troubla tandis que j'attendais que l'homme au pistolet tente quelque chose pour me sauver. Il était mon seul espoir.
—Je me fous pas mal d'elle, répliqua mon seul espoir sans broncher.


Assez inconfortable comme situation non ?
C'est pourtant ce que va vivre Jillian, notre héroïne. Et la situation deviendra encore plus tendue lorsque le produit contenu dans la seringue lui sera injecté par le savant fou.
Voilà notre héroïne entraînée bien malgré elle dans une lutte secrète opposant humains et vampires. Elle n'aura alors pas le choix, la seule personne capable de la sortir de là sera Declan, Le dhampire (mi-humain, mi-vampire), l'homme d'action au coeur de pierre :


Tout en me tenant d'une main à la gorge, si étroitement que je pouvais à peine respirer, il porta un téléphone à son oreille.
— C'est moi, dit-il. Il y a eu un problème. (silence) J'ai descendu Anderson, mais, avant d'essayer de me tirer dessus pour s'échapper, il a administré le prototype à un civil. (Un nouveau silence.) Une femme. Je l'élimine aussi ?

Aïe, aïe, aïe ! Heureusement que notre héroïne a du cran.

Je suis directement tombée sous le charme de Declan. Quand je l'ai "vu" je me suis dit : "Ah, une histoire de belle et la bête, mais avec une vraie bête, pas juste un gros chat aux poils soyeux". Et de ce coté-là je n'ai pas été déçue. Il est "Bête" autant par son physique, que par sa façon d'être.
C'est un personnage très intéressant et j'ai aimé le fait qu'il soit à la fois "héros sauveur tout en force" et en même temps que lui-même ait besoin d'être sauvé, sans pour autant être diminué.

J'ai adoré Jillian, qui nous raconte l'histoire à la première personne, et qui ne m'a pas gavée un seul instant. On peut se sentir proche d'elle, je dirais même que j'envie sa personnalité. J'ai aimé sa façon de vivre la situation qui lui a été imposée, sans jamais se résigner et sans accepter tout pour argent comptant, et d'agir sur le cours de l'histoire. Elle est belle, courageuse et beaucoup plus intelligente que ce que son attitude de blonde peut laisser penser au début.

Nous avons entre ces deux personnages, une vraie belle romance qui fonctionne bien et qui m'a beaucoup plu.
Bon, à un moment j'ai quand même eu peur de la tournure que prendrait l'histoire, mais ça va, on a évité le pire. Mais mes craintes sont reportées au tome 2, j'espère que ma morale romantique ne se trouvera pas heurtée par la suite.

Je me suis laissée emporter par ce livre, que j'ai suivi avec beaucoup de plaisir et les nombreux retournements de situations sont bien amenés, on les voit arriver petit à petit au fur et à mesure qu'on nous raconte l'histoire, et jusqu'à l'avant-dernière page je ne savais pas comment cela allait se terminer.

En bref, j'ai eu un gros coup de coeur pour ce livre dont j'attends de lire le tome 2 avec impatience, et un petit coup de foudre pour cette auteur que j'ai envie de suivre de plus prés.

Et puis je trouve la couverture splendide !


Ma note pralinée


/ 5 


Export Cowblog : article du 16/04/2013

Vidéo Girl - Le Roman

Titre : Vidéo Girl
Auteur : Masakazu KATSURA, Sukehiro TOMITA
Genre : Manga mais en roman, romance S-F
Année : 1992
Editions : Tonkam

Présentation de l'Editeur :

Il est un video club nommé le " 7ème ciel" qui n'est visible qu'à ceux qui possèdent un coeur pur. Ceux là peuvent y emprunter des "vidéo-girls". Ce sont des créatures virtuelles, faites pour consoler les garçons du monde réel. Leur conditions est peu enviable car elles n'ont pas le droit d'être amoureuses...
Découvrez les aventures de 3 vidéo girls : Ai, You et Yume.

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Ah, Vidéo Girl Ai ! Un de mes mangas préférés ! Une histoire d'amour impossible qui a fait battre mon coeur de midinette. Les dessins de Katsura sont tellement magnifiques, tellement parlants, et très sexy sans être vulgaires, j'adore !. Qu'est-ce que j'ai pu me faire du mauvais sang pour Ai et Yota, leur amour rencontre tellement d'obstacles...
... Enfin, ça c'était jusqu'à ce que je me rende compte que Yota n'est qu'un coeur d'artichaud, il tombe amoureux de tout le monde, et dit je t'aime à la première fille en culotte qu'il voit le matin en prenant son café !
M'arrachant des larmes de rage, telle la fille qui s'est encore fait avoir par un mec. Ces hommes tous les mêmes T__T
Dégoutée, je n'ai jamais fini la série bien que j'en possède tous les tomes (et je me suis donné un mal de chien pour les trouver).

Donc quand j'ai mis la main sur ce roman dans mon magasin de livres d'occasion parisien préféré, je me suis dis qu'en un roman, ce serait plus court, et qu'on éviterait peut-être les écueils qui m'ont déplus et fait abandonner cette histoire qui commençait pourtant si bien.

En fait de roman, nous avons dans ce livre trois nouvelles qui racontent chacune une histoire de vidéo girl.

1) Vidéo Girl : Ai Amano

Cette nouvelle reprend l'histoire et les personnages du manga : Ai et Yota.
Yota aime Moemi, sa camarade de classe, mais Moemi aime Takeshi le meilleur ami de Yota, qui lui-même connaissant le faible de son pote pour la demoiselle la repousse.
Un soir, alors qu'il erre, désespéré dans la rue, les pas de Yota vont le mener vers un Vidéo Club spécial. Il s'agit d'un magasin auquel seuls peuvent accéder des gens au coeur pur. Le jeune garçon y entre et son regard est attiré par le vidéo "Ai Amano". Le vendeur, lui explique d'un ton mystérieux que la jeune femme l'aidera à trouver l'amour.
Yota loue la cassette et lorsqu'il rentre chez lui et met la vidéo en marche, quelle n'est pas sa surprise de voir que la jeune fille de la pochette est en chair et en os devant lui.

Je trouve l'écriture franchement bâclée. La narration est minimaliste et les dialogues ne sont pas très réussis, mais c'est une jolie histoire. Le problème c'est que comme la nouvelle ne reprend que les deux premiers tomes du manga on a à peine le temps de s'attacher aux personnages que c'est déjà fini.... en queue de poisson. C'est super dommage, parce que cela s'arrête à un moment où on sent que l'histoire va prendre un tournant romantique très fort, et j'ai été clairement frustrée.


2) Vidéo Girl : You Kagetori

Shuji aime Miuki, qui aime Yuitchi, le grand frère "parfait" de Shuji auquel il ne peut s'empêcher de toujours se comparer à son désavantage. Un soir, il entre dans le fameux vidéo club "Septième Ciel" et son regard est attiré par la cassette d'une vidéo girl mise à l'écart.
You Kagetori, la jeune fille qui sort de sa télé a pour mission d'aider Shuji à s'épanouir et à séduire Miuki, et elle n'a pas droit à l'erreur. Si elle échoue, sa vidéo sera tout simplement effacée.

Une petite histoire gentillette, un peu fade, avec une fin assez attendue mais qui m'a laissée un sentiment d'amertume. Un peu trop sur le même registre que la première nouvelle. Et à vrai dire j'ai trouvé la vidéo girl assez inutile dans cette histoire.


3) Vidéo Girl : Yume Kayama

Pas de cercle infernal de l'amour ici. Yume est une vidéo girl blasée, marre de toujours accomplir les mêmes missions avec les mêmes gars mollassons, elle aimerait prendre sa retraite. Quelle n'est pas sa surprise d'être "louée" par une fille cette fois-ci.
Miho ne comprend plus son ami-amour Takeshi, qui du jour au lendemain s'est mis à sécher les cours pour faire de la moto et traîner avec des loubards et la rejette. Yume devra l'aider à renouer avec le jeune homme.

Ici, on veut clairement nous faire une histoire de vidéo girl différente des deux précédentes. Et d'ailleurs on ne comprend pas tout de suite vers où cela va nous mener. Girls love ? Création du triangle amoureux qu'il manquait au début de l'histoire ? Je ne vous donnerai pas la réponse, mais ce que je peux vous dire c'est que cette nouvelle ne m'a pas emballée plus que les deux autres.

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Les nouvelles de ce livres ont été écrites par Sukehiro Tomita, et Masakazu Katsura a participé en glissant par-ci, par-là quelques illustrations relatives aux histoires. C'est dommage, les dessins ne sont pas moches, mais ce n'est pas du grand Katsura, et sur certaines on ne reconnaît même pas le coup de crayon si précis qui fait le succès de ce dessinateur.

A noter une mini-scénette de trois pages illustrée en manga pour entamer la lecture. C'est mignon, mais ça casse pas des briquettes non plus.


Ma note pralinée


 / 5


Export Cowblog : article du 13/04/2014